7 septembre 2011

LE MÉTRO C'EST MOI

Pyramidalement, je déterre la momie. Et quand on réveille Apophis, on sait clairement pas comment il va réagir. C'est la reprise de la saison. En fait, non. La saison s'est pas arrêtée. Entre temps, y'a eu des t-shirts, des activités ludiques, des stars, mes $oucis, mes orgies, d'autres bonheurs, d'autres délices, des rencontres incroyables, des OVNI, des vaisseaux tout à fait spatieux, du zoning, des cibles intéressantes, des révélations, de l'intercontrat, des apparitions divines, des trucs complètement dingues, des histoires de seaux à glace, et quelques variations gastronomiques. Juste le broadcast qui reprend. Bref, rien n'a changé, ou presque.

Ha si, maintenant, je suis moins imberbe. Quelques milliers de tweets en plus, et autant de posts sur vos réseaux sociaux préférés n'ont pas eu raison de ma bonne humeur. Et pour cause: tout va bien, mais je me soigne. Et je compte le faire MIEUX.

Étymologie et obscurantisme faisant bon ménage, je suggère de se pencher sur le mot "indécence" pour contempler ce beau spectacle.

N'empêche, j'ai l'impression de retrouver un vieux pote. Tu sais, le pote que tu revois, tu sais pas trop quoi lui dire, mais tu sais qu'après une bière ou deux, vous reformerez la doublette d'antan. Tout est affaire de jubilé.

Il était une fois, Fassol qui joue toujours du piano debout.

Xirotégnicrev, c'est l'anagramme de ce mec hyper connu. Ouais, mais lui, il a jamais connu Guérard.


"Dunster, c'est du sérieux. Non seulement il n'y a pas de répertoire public, mais en plus y'a pas de répertoire du tout."