'10 FASSOL-AWARDS : BEST MOVIE
Et j'aurais pu ajouter "EVER" dans le nom de cet article, tant le flim que j'ai en tête en écrivant cela est indiscutable dans cet article. Parce qu'il y a eu l'avant, et l'après-EnterTheVoid.
Je vous épargne des superlatifs dithyrambiques formulés par les critiques, tout comme des pires tirs à boulets rouges, parce que, comme j'ai pu le dire de nombreuses fois, ce flim, il faut le voir (déjà pour le croire, mais aussi parce que c'est pas un flim à critique - bonne ou mauvaise). Et je me lancerai pas dans quoi que ce soit d'approfondi. J'ai tellement reçu ce flim dans le ressenti que je compte en rester là.
On se fout totalement de savoir si l'histoire tient la route quand on sort d'une salle de ciné totalement déstabilisé et oculairement drogué. De même qu'on se fout de savoir si la toupie tourne encore quand on sait que la toupie, c'est pas le totem de Cobb.
Quand tu as vu Enter The Void, il n'y a que Buzz l'éclair dansant le flamenco que tu peux trouver bizarre, et encore. "Soudain le vide" est un flim génial ou cliniquement fou, avec une B.O. épurée ou plate à mourir, une avalanche d'images sublimes ou une loghorée de couleurs aléatoirement lancées au spectateur. L'atmosphère y est sombre ou glauque. Bref un flim qui ne laisse pas indifférent ou qui ne laisse pas indifférent. Bon et puis les délires typographiques du générique m'ont plu, ça va sans dire.
Des flims, j'en ai vus cette année, pourtant. Il y a eu les 2 évoqués juste dessus, Inception, film à prise-de-tête de l'année, Toy Story 3, mais aussi Tournée, l'ultra-burlesque, et Machete, le nanar à succès. Ma seule déception est de n'avoir toujours pas vu MegaShark vs Crocosaurus, qui était pourtant l'occasion de clore PARFAITEMENT mon année fantastique de cinéma.
Et il y a eu Rubber, aussi sur la fin de l'année, qui m'a valu pas mal de honte à chaque fois que j'ai tenté d'expliquer: "C'est l'histoire d'un pneu tueur..." Du non-sense, des effets spéciaux vachement bons, mine de rien (j'ai toujours pas réussi à m'expliquer comment on faisait aussi bien rouler un pneu sans essieu). Mr Oizo a pas fini de nous régaler. J'aime Rubber.
(ah oui, j'ai aussi vu 23 minutes de Tron en avant-première full-exclu... mais 23 minutes, ça compte pas... rendez-vous en février aaaargzl)
Edit très important:
Un des flims de l'année a également été Executive Koala. Un thriller palpitant où un jeune cadre Koala dynamique se rend compte que son amour pour une de ces collaboratrices peut le rendre fou... au point d'être mis dans une position délicate par son boss, un lapin atteint de myxomatose. Le mec déprime tellement que même les caissiers de son épicerie semblent le regarder en se foutant de sa gueule. Alors parfois, il devient taré et ça lui fait faire des trucs trop fous pour être tolérés par la dure cour de justice japonaise! S'en suit d'ailleurs une scène de comédie nippo-musicale où Executive Koala est tiraillé par ses sentiments et assailli par les accusations: cela est trop, le juge n'aura pas de clémence, c'est la prison! Mais bon finalement, après pas mal d'aventures sordides non-zoophiles en prison, on est heureux de voir notre héros retrouver sa dulcinée, et s'apercevoir qu'un peu comme dans une inception, finalement il ne sait pas si tout ça n'était pas qu'un bade trip. Bref, un flim fantastique totalement typique de ce qui se fait de plus fou sur cette planète quand le soleil se lève à un endroit et qu'il fait encore nuit partout ailleurs.
Je vous épargne des superlatifs dithyrambiques formulés par les critiques, tout comme des pires tirs à boulets rouges, parce que, comme j'ai pu le dire de nombreuses fois, ce flim, il faut le voir (déjà pour le croire, mais aussi parce que c'est pas un flim à critique - bonne ou mauvaise). Et je me lancerai pas dans quoi que ce soit d'approfondi. J'ai tellement reçu ce flim dans le ressenti que je compte en rester là.
On se fout totalement de savoir si l'histoire tient la route quand on sort d'une salle de ciné totalement déstabilisé et oculairement drogué. De même qu'on se fout de savoir si la toupie tourne encore quand on sait que la toupie, c'est pas le totem de Cobb.
Quand tu as vu Enter The Void, il n'y a que Buzz l'éclair dansant le flamenco que tu peux trouver bizarre, et encore. "Soudain le vide" est un flim génial ou cliniquement fou, avec une B.O. épurée ou plate à mourir, une avalanche d'images sublimes ou une loghorée de couleurs aléatoirement lancées au spectateur. L'atmosphère y est sombre ou glauque. Bref un flim qui ne laisse pas indifférent ou qui ne laisse pas indifférent. Bon et puis les délires typographiques du générique m'ont plu, ça va sans dire.
Des flims, j'en ai vus cette année, pourtant. Il y a eu les 2 évoqués juste dessus, Inception, film à prise-de-tête de l'année, Toy Story 3, mais aussi Tournée, l'ultra-burlesque, et Machete, le nanar à succès. Ma seule déception est de n'avoir toujours pas vu MegaShark vs Crocosaurus, qui était pourtant l'occasion de clore PARFAITEMENT mon année fantastique de cinéma.
Et il y a eu Rubber, aussi sur la fin de l'année, qui m'a valu pas mal de honte à chaque fois que j'ai tenté d'expliquer: "C'est l'histoire d'un pneu tueur..." Du non-sense, des effets spéciaux vachement bons, mine de rien (j'ai toujours pas réussi à m'expliquer comment on faisait aussi bien rouler un pneu sans essieu). Mr Oizo a pas fini de nous régaler. J'aime Rubber.
(ah oui, j'ai aussi vu 23 minutes de Tron en avant-première full-exclu... mais 23 minutes, ça compte pas... rendez-vous en février aaaargzl)
Edit très important:
Un des flims de l'année a également été Executive Koala. Un thriller palpitant où un jeune cadre Koala dynamique se rend compte que son amour pour une de ces collaboratrices peut le rendre fou... au point d'être mis dans une position délicate par son boss, un lapin atteint de myxomatose. Le mec déprime tellement que même les caissiers de son épicerie semblent le regarder en se foutant de sa gueule. Alors parfois, il devient taré et ça lui fait faire des trucs trop fous pour être tolérés par la dure cour de justice japonaise! S'en suit d'ailleurs une scène de comédie nippo-musicale où Executive Koala est tiraillé par ses sentiments et assailli par les accusations: cela est trop, le juge n'aura pas de clémence, c'est la prison! Mais bon finalement, après pas mal d'aventures sordides non-zoophiles en prison, on est heureux de voir notre héros retrouver sa dulcinée, et s'apercevoir qu'un peu comme dans une inception, finalement il ne sait pas si tout ça n'était pas qu'un bade trip. Bref, un flim fantastique totalement typique de ce qui se fait de plus fou sur cette planète quand le soleil se lève à un endroit et qu'il fait encore nuit partout ailleurs.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire